À l’École Ducasse, chez Valrhona ou Ferrandi, j’anime des sessions de formation autour d’un sujet passionnant : comment l’intelligence artificielle peut nourrir, sans jamais remplacer, la créativité culinaire.

Devant des chefs en devenir, des formateurs et des professionnels de la gastronomie, nous explorons les usages concrets de l’IA générative pour stimuler l’imaginaire, créer des associations inattendues, repenser les visuels ou encore raconter autrement une expérience sensorielle.

Un des ateliers marquants : imaginer un dessert signature à partir d’un mot, d’une émotion ou d’une couleur. L’IA proposait des pistes narratives, des visuels ou des ingrédients, et chaque chef réinterprétait ensuite cette base pour créer un plat totalement personnel. Le résultat ? Des créations réalistes, inattendues, parfois déroutantes, mais toujours profondément humaines.

L’objectif : ne pas opposer tradition et innovation, mais montrer comment l’IA peut devenir un outil de recherche, d’inspiration et d’amplification, au service d’une cuisine toujours plus audacieuse et sensible.